Ils parlent notre langue, nous ne parlons pas la leur !

Dans les cinq prochaines années, la Lorraine va perdre 10 000 emplois de proximité parce que nos enfants ne parlent pas la langue de nos voisins alors qu’eux parlent la nôtre.

Des responsables politiques locaux serinent à des crédules que l’anglais suffit, qu’il n’est pas besoin de faire d’effort supplémentaire pour communiquer et travailler : c’est faux et suicidaire. Le « globiche », anglais de cuisine, que nos enfants maîtrisent avec peine ne suffira pas à créer une communauté, à montrer notre richesse créative à nos voisins qui voudraient nous offrir des emplois. Pour communiquer et construire, il faut aller plus loin !

ED